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Etats généraux du CCRE - 26.09.2012
Prince des Asturies ouvre les Etats Généraux : les collectivités sont essentielles pour répondre aux besoins des citoyens
« Les collectivités locales et régionales renforcent notre démocratie. Elles sont indispensables pour fournir des services de base efficaces et gérer les besoins fondamentaux de nos citoyens dans tous les domaines », a déclaré le Prince des Asturies lors de l’ouverture des 25e Etats généraux des communes et régions d’Europe le 26 septembre 2012.
Ilmar Reepalu, maire de Malmö et hôte des 24e Etats Généraux en 2009, a remis le drapeau du Conseil des Communes et Régions d’Europe (CCRE) à Teófila Martínez Sáiz, maire de Cadix. A cette occasion, il a dressé le bilan de la situation de l’Europe locale et régionale depuis la dernière édition du Congrès et a mis en avant que « l’intérêt porté à la durabilité dans nos villes a été très bénéfique, en ce sens qu’il a permis de créer les emplois dont notre société a besoin, surtout dans le contexte de crise actuelle ».
Le maire de Cadix, qui accueille le Congrés de cette année, a par ailleurs souligné que « les gouvernements nationaux et européens doivent prêter attention à ce que font les collectivités locales et régionales, même si les défis auxquels ils sont confrontés leur semblent très éloignés, et ce, parce qu’aux yeux de nos citoyens et élus locaux, les enjeux semblent énormes. »
« Nous devons adopter une attitude proactive et travailler de manière solidaire » a poursuivi Íñigo de la Serna Hernáiz, maire de Santander et président de la Fédération espagnole des municipalités et provinces (FEMP). « Il n’y a pas de place pour une action unilatérale. Et si aujourd’hui l’austérité, l’efficacité et la mise en œuvre des fonds structurels doivent être au centre de nos actions, elles ne doivent pas nous écarter de la nécessité de travailler ensemble sur les défis globaux, pour que nous puissions répondre aux besoins de nos citoyens ».
Le président du CCRE et maire de Stuttgart, Wolfgang Schuster, s’est adressé aux 700 participants en leur déclarant qu’ « il faut également voir la crise comme une opportunité. Pour ce faire, il nous faut toutefois une base d’action commune, ce qui ne sera possible que si tous les niveaux de gouvernance travaillent ensemble. »
Le ministre espagnol de l’administration publique, Antonio Beteta Barreda, a pour sa part conclu que « l’Europe n’est plus seulement un rêve, mais est devenu une réalité tangible qui continue à évoluer. Il n'y a aucun doute que nous avons besoin de plus d’Europe. »
Ilmar Reepalu, maire de Malmö et hôte des 24e Etats Généraux en 2009, a remis le drapeau du Conseil des Communes et Régions d’Europe (CCRE) à Teófila Martínez Sáiz, maire de Cadix. A cette occasion, il a dressé le bilan de la situation de l’Europe locale et régionale depuis la dernière édition du Congrès et a mis en avant que « l’intérêt porté à la durabilité dans nos villes a été très bénéfique, en ce sens qu’il a permis de créer les emplois dont notre société a besoin, surtout dans le contexte de crise actuelle ».
Le maire de Cadix, qui accueille le Congrés de cette année, a par ailleurs souligné que « les gouvernements nationaux et européens doivent prêter attention à ce que font les collectivités locales et régionales, même si les défis auxquels ils sont confrontés leur semblent très éloignés, et ce, parce qu’aux yeux de nos citoyens et élus locaux, les enjeux semblent énormes. »
« Nous devons adopter une attitude proactive et travailler de manière solidaire » a poursuivi Íñigo de la Serna Hernáiz, maire de Santander et président de la Fédération espagnole des municipalités et provinces (FEMP). « Il n’y a pas de place pour une action unilatérale. Et si aujourd’hui l’austérité, l’efficacité et la mise en œuvre des fonds structurels doivent être au centre de nos actions, elles ne doivent pas nous écarter de la nécessité de travailler ensemble sur les défis globaux, pour que nous puissions répondre aux besoins de nos citoyens ».
Le président du CCRE et maire de Stuttgart, Wolfgang Schuster, s’est adressé aux 700 participants en leur déclarant qu’ « il faut également voir la crise comme une opportunité. Pour ce faire, il nous faut toutefois une base d’action commune, ce qui ne sera possible que si tous les niveaux de gouvernance travaillent ensemble. »
Le ministre espagnol de l’administration publique, Antonio Beteta Barreda, a pour sa part conclu que « l’Europe n’est plus seulement un rêve, mais est devenu une réalité tangible qui continue à évoluer. Il n'y a aucun doute que nous avons besoin de plus d’Europe. »
